20km de Lausanne 2010
Une année après ma première participation à cette manifestation sur la distance de 10km, me voici prêt, cet après-midi, une fois de plus, à en découdre avec le bitume.
De nombreux kilomètres ont été parcourus depuis l’édition de l’an passé, et les courses du semi-marathon de Lausanne, de la Christmas Midnight Run et dernièrement des traine-savates m’ont permis d’emmagasiner un peu de pratique… Et me voici donc au départ des 20km de Lausanne, sur la distance de 20km cette fois-ci.
Il s’agit là de ma deuxième course sur cette distance, après le semi-marathon de Lausanne en octobre dernier, à ceci près que la préparation durant tout l’été est un peu plus aisée que celle du début d’année. M’enfin, je suis prêt.
Le départ est donné à 18h18 (pour mon bloc, les premiers se sont élancés à l’assaut des 20km à 18h10). Comme pour les 10km de l’an passé, le début de la course se passe à plat, le long du lac en passant devant le musée olympique. Première montée après 3 kilomètres. Je m’en souviens bien, la dernière fois je me suis grillé ici, je gère en faisant gaffe à pas monter trop haut en régime. La première montée se passe bien et j’arrive au premier ravitaillement, à 5 km: jusque là, je connais.
Ensuite, le parcours monte à travers la ville, on passe par la place de Milan, l’avenue de Tivoli, La place de l’Europe, et puis le meilleur, la montée sur la cathédrale, la place du château, point culminant du parcours. Les dernières montées font un peu mal aux jambes, mais j’arrive en ayant bien géré ma montée. Je suis même surpris de me sentir aussi bien à ce point là de la course.
Ensuite on descend sur la place de la Riponne, Saint-Laurent, retour au Flon, avenue de Provence, la vallée de la jeunesse. Je remonte pas mal de concurrents sur les derniers kilomètres. Certains marchent, d’autres grimacent. Il y en a même qui marchent en grimaçant. Un petit tour à Vidy et retour au stade de Coubertin pour passer la ligne d’arrivée, en 1 heure 55 minutes et 9 secondes.
En arrivant, je me dis que finalement, même si j’ai un peu moins de kilomètres au compteur dans ma préparation qu’au semi marathon, je fini relativement plus frais, ce qui est de bonne augure pour la préparation de mon marathon, fin octobre.
Prochaine course: le tour du Léman, à vélo cette fois, fin mai.